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L. May a man know your name I pray?
G. Yea sir, why not? My name is William.
L. I pray you sir tell me your name.
G I am called W. at your commandement.
L What countrey man, and of what place are you?
G. I am Italian, and of Padoa, at your commandement.

John Florio, Second Frutes, VI


"Shakespeare has been seen as pure Writing, the Oeuvre without the man: a treat for the critical imagination! Shakespeare was the result of an invention carried out in the interest of the institution and its subjects, a myth imposed on the world of lettered folk spellbound by this idol, the disembodied Great Writer."

L. Tassinari

BOOK REVIEWS


The ‘Ayde of his Muses? The Renaissance of John Florio and William Shakespeare By Jeremy Lester

British scholar and author Jeremy Lester proposed for publication this book review to a number of newspapers in England and in Canada. From The Guardian to The Toronto Star he received the same answer: none. Seriously, no one even responded to his submissions! In the main stream media, free expression of critical and radical ideas is controlled by well defined interests and ideologies.

In 2009 another Italian expatriate, Lamberto Tassinari, published a major study of John Florio’s cultural achievements, which has just been revised and expanded into a second edition. The principal finding of Tassinari is immediately revealed in the title of his monograph: John Florio, The Man Who Was Shakespeare, and in nearly 400 pages of very detailed, very thorough investigation, some extremely convincing evidence is revealed, or brought out of long-locked closets, which certainly merits Florio being considered a very strong contender to Shakespeare’s literary throne. The evidence gathered together falls into a number of broad categories. (…)

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Shakespeare, un Italien ?

C’est l’hypothèse d’un livre publié à Montréal qui, pour le 450e anniversaire de l’auteur d’Hamlet, pourrait ne pas plaire à tous. Nouvel Observateur, du 3 au 9 juillet 2014. Par Daniel Bougnoux

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Actualités shakespeariennes
Le Devoir, 25 juin 2014 | par Alexandre Cadieux

L’homme de Stratford aurait eu 450ans en 2014. Joyeux anniversaire, Willy ! Durant toute l’année, le monde du théâtre commémore cet événement par le biais de multiples manifestations, et j’ai décidé de m’y mettre en vous proposant quelques textes sur les actualités shakespeariennes locales, en commençant par vous entretenir — how fitting ! — de la théorie d’un joyeux trouble-fête dont les idées subversives commencent à faire du bruit.

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Pour un Shakespeare vrai
Blog de Daniel Bougnoux

La « question of authorship » des pièces signées William Shakespeare (trente-six, plus deux longs poèmes et les fameux, et très énigmatiques, Sonnets) est un serpent de mer, ou un marronier ; l’évoquer suffit donc auprès de certains à vous disqualifier, en vous rangeant parmi les amateurs d’OVNI, ou pire les négationnistes ou ceux qui mettent en doute les attentats du 11 septembre… Une pétition néanmoins circule, grosse de 2 ou 3000 signatures (notamment académiques) pour déclarer qu’un doute raisonnable existe, et qu’il convient donc de considérer ce sujet comme ouvert.

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Le point sur Shakespeare et Florio, JEU Revue de théâtre, N.144 mars 2012, par Michel Vaïs

Les autorités de Montréal ont mis 370 ans à reconnaître que Jeanne Mance avait été cofondatrice de la ville en 1642, alors que le sieur Chomedey de Maisonneuve passait jusqu’à présent pour le seul fondateur de la métropole du Québec. On parlait déjà très sérieusement de cette possibilité depuis… 1930. Quid de la reconnaissance de John Florio comme auteur des pièces attribuées à Shakespeare ? Dans Jeu 141, j’ai publié un compte rendu du livre de Lamberto Tassinari, John Florio. The Man Who Was Shakespeare. L’ouvrage, que j’avais d’abord pris avec un grain de sel sur réception du communiqué annonçant sa parution en 2009, m’a totalement fasciné. Car ce qu’il faut bien appeler une révélation repose à mon avis sur des recherches extrêmement sérieuses, qui ne doivent pas demeurer lettre morte. Après tout, elles remettent en question non seulement un auteur mais toute une culture, et une industrie. Signalons que mon article a par la suite paru en espagnol dans le numéro 180 de la revue Artez, publiée à Bilbao en avril 2012.

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Shakespeare transculturel, JEU Revue de théâtre, N.141 décembre 2011, par Michel Vaïs

Tout a commencé il y a une dizaine d'années. Lamberto Tassinari, un intellectuel québécois bien connu pour ses écrits transculturels, notamment pour avoir dirigé pendant quatorze ans le magazine Vice-Versa - qu'il avait cofondé -, se met à lire sur le tard la Tempête de Shakespeare. Sans raison particulière, il n'avait encore jamais lu cet opus, que l'on s'accorde pour considérer comme le testament littéraire du plus grand dramaturge de tous les temps. Il s'est alors dit qu'il était impossible que cette pièce ait pu avoir été écrite par un Anglais. Fort de sa culture maternelle et de son expérience du passage d'une langue à l'autre, Tassinari fut vite convaincu que le dernier texte du dénommé Shakespeare ne pouvait avoir été écrit que par un Italien. Bref, il s'agirait d'un travail transculturel.

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Author and scholar Robert Richard introduces the Shakespeare Authorship Question and John Florio's candidacy on CKCU radio (Carleton University, Hull-Ottawa)

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Shakespeare était-il italien? LE DEVOIR, 10 septembre 2011, par Philippe Couture

Dans un nouveau livre, le Montréalais Lamberto Tassinari affirme que Shakespeare était en fait John Florio, un traducteur et lexicographe d'origine italienne, connu pour ses traductions de Montaigne! Entrevue.

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L'homme qui était Shakespeare, LIBERTÉ, avril 2011 par R. Richard

Donc, ce ne serait pas Shakespeare qui aurait écrit Shakespeare - vous savez les pièces, les sonnets et tout ça? Pas assez scolarisé, le bonhomme. À peine quatre ou cinq années d'école primaire dans le corps, et dans une école de rang, en plus - car Stratford, c'était un trou à l'époque. Et puis, vous avez vu sa signature? Seulement six signatures nous sont parvenues et toutes, sans exception, sont d'une calligraphie tout à fait improbable. Si vous aviez passé votre vie à écrire - et à la main, comme c'était la règle à l'époque - des centaines de pages de poésie et de dialogues, il me semble que votre calligraphie serait un peu plus soignée, non? Mais voilà qu'on a affaire à un griffonnage de SDF qui aurait pinté plutôt fort. Et puis, ce sacré picoleur, ce qu'il était dans la vraie vie, était plutôt embêté, au moment de signer, quant à l'épellation de son propre nom.

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A Play By Any Other Name... John Florio, Lamberto Tassinari by Marianne Ackerman 27.04.2010

The way Mark Twain saw it, the plays of William Shakespeare were either written by Shakespeare or somebody else with the same name. What he probably meant was that the brand is unassailable, omnipotent, untouchable. In fact, Twain was one of the great doubters, an anti-Stratfordian, part of a long-simmering movement of opinion holding that the great plays and poems were written by someone other than a ho-hum actor with scant formal education and no ties to people in high places.

That “shake-speare”, as it is often written in contemporary documents, was a pseudonym. The real Bard is someone who chose not to reveal his (or her) name. For many years, Montreal scholar and writer Lamberto Tassinari has been building a case for John Florio, ...

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Entretien,Tribune Juive, janvier 2010

Pourquoi ce bandeau sur le livre avec pour titre : La fin d'un mensonge?

Je n'aime pas la publicité et le marketing non plus. Je me méfie des gros titres et des déclarations triomphales. Si j'ai écrit The end of a lie, c'est que j'ai les preuves que l'auteur des ouvres de Shakespeare n'est pas le fils d'un boucher anglais et analphabète de Stratford-Upon-Avon, mais qu'il est le fils d'un prédicateur protestant italien, ex-franciscain d'origine juive exilé à Londres. Son nom est Giovanni Florio ou John comme il a signé ses ouvres d'érudition et de traduction. L'annonce de la nouvelle identité de Shakespeare implique, évidemment, la fin d'un mensonge qui a duré quatre siècles. Il fallait être explicite, n'est-ce pas?

Comment est née l'idée de cet essai sur John Florio?

Tout a commencé en 2000. Je lisais (tard dans ma vie) La Tempêtequand les journaux ont annoncé qu'un enseignant retraité du secondaire dans une petite ville de Sicile soutenait que Shakespeare était le nom de plume de Michelangelo Florio, Crollalanza du côté de sa mère.

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The New York Times, May 20, 2009 - Dario Calimani teaches English literature at Ca’ Foscari University, Venice, Italy. His most recent publication is “I Sonetti della Menzogna”, Rome, 2009

Calimani had this to say about my book John Florio The Man Who Was Shakespeare:

(…) Arguing on Howard Schumann’s side!

Any biography of W.S.’s as the Startford man is far less convincing and devoid of any evidence than ANY OTHER attempt at identification with, for instance, De Vere or Florio.

The latter, in particular, has often been disregarded and neglected as a possible candidate for the Shake-speare identification, probably due to his being of Italian origin (an alien) rather than a pure English citizen. Try and read the recent ‘Shakespeare? E’ il nome d’arte di John Florio’ in Italian, unfortunately, but apparently to be soon published in English and consider the surprising 'coincidences' of all sorts (historical, cultural, linguistic) the book reveals. I'm not saying that the problem is finally solved, but this book, too, (despite some persisiting gaps) is far more convincing on the Shakespeare-Florio identity than any far-fetched biography supinely accepting and asserting the Shakes-speare-Shakespeare identity. …

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Quaderni d’Italianistica

Francesco Loriggio, professore d’italiano e di letteratura comparata alla Carleton University di Ottawa, ha recensito « Shakespeare ? È il nome d’arte di John Florio » in Quaderni d’Italianistica (Official Journal of the Canadian Society for Italian Studies), Volume XXX, N. 1. 2009, pp. 198-200.


Accenti Magazine - Interview with Lamberto Tassinari by Michael Mirolla

This interview was originally published in ACCENTI Magazine, Issue 15 - Winter 2009. Reprinted by permission of the publisher.

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Transfinito - "Shakespeare? È il nome d’arte di John Florio" di Lamberto Tassinari - Giancarlo Calciolari

La questione della paternità delle opere di William Shakespeare è forse la questione di punta dell’ideologia inglese che è sorta poco prima con l’autocefalia ecclesiastica di Enrico VIII per le note ragioni (...)

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News Italia Press agenzia Stampa - N° 165
Il vero nome di Shakespeare: John Florio


John Florio è il vero Shakespeare. Lamberto Tassinari, docente dell'Università di Montréal, lo sostiene con forza nel suo "Shakespeare? È il nome d'arte di John Florio" (Giano Books, 2008, pagg. 378) (...)


Il Tirreno    Download article

Magazine Corriere Sera    Download article

Polizia e Democrazia    Download article



Book Cover

eBook
John Florio
The Man Who Was Shakespeare
by Lamberto Tassinari
Giano Books
$CA 12.99


Second revised and augmented edition,
October 2013

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